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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/7644
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dc.contributor.advisorBelinga Bessala, Simon-
dc.contributor.authorAladji Godje, Clément-
dc.date.accessioned2022-03-04T08:32:32Z-
dc.date.available2022-03-04T08:32:32Z-
dc.date.issued2017-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/7644-
dc.description.abstractLe présent travail de type qualitatif a pour principal objectif de déterminer la cause de la non-application des recueils de textes en classe par les praticiens de philosophie du secondaire. Il montre que ce phénomène est imputable à l’élasticité du programme et au principe de l’isomorphisme et, qu’il est aussi dû à la difficulté à l’acquisition des textes par les apprenants. La problématique sous-jacente à ce protocole de recherche consiste par conséquent à se demander pourquoi certains enseignants de philosophie du secondaire résistent à l’usage d’extraits de textes en guise de support didactique. La tentative d’élucidation indiciaire de cette interrogation a conduit aux collectes de données dans différentes structures de la ville de Yaoundé. Concernant la collecte et d’analyse des données, l’enquête a été menée auprès d’une population hétérogène constituée de 73 sujets, dont 60 apprenants des classes de terminales, 10 professeurs et 03 Inspecteurs pédagogiques de philosophie. Ce qui revient à dire que la population parente principalement visée est constituée de l’ensemble d’enseignants de philosophie, quoique renforcée à ce titre par les témoignages de quelques Inspecteurs pédagogiques et de quelques apprenants. C’est la raison pour laquelle l’échantillonnage par quotas est privilégié. Dans ce cas, l’observation en immersion, l’entretien (individuel et collectif) et la technique documentaire ont constitué les principaux outils de collecte des données. Aussi, l’analyse de contenu a été adoptée pour le traitement des informations. Toutefois, les résultats obtenus confirment et justifient amplement nos présomptions. Ils font surtout apparaître que très peu d’enseignants mettent en pratique l’approche textuelle (soit 40%). Il s’ensuit que la majeure partie (c’est-à-dire 60%) s’attache à l’enseignement évangéliste. Face à cette situation, ce travail suggère des actions pratiques énoncées sous forme de recommandations. Épistémologiquement, et même didactiquement, l’étude postule que l’approche textuelle est judicieuse du fait qu’en relevant les spécificités historiques, culturelles et méthodologiques pouvant constituer des sources de connaissance et de l’enseignement philosophique, elle évite le risque d’un plaquage stérile de performance des apprenants. Au bout du compte, l’étude est subdivisée en trois parties. La première est un exposé concis du corps d’hypothèses, ainsi que le cadre conceptuel général qui sert de fondement à des théories ayant en commun le système explicatif du phénomène en vue. La deuxième comporte l’exposé des questions de méthodologie générale. La troisième, enfin, aborde l’analyse des résultats de l’enquête et, élucide le système de relation existant entre les variables considérées ; ce qui conduit inéluctablement à la vérification du degré de validité des théories réinterprétatives.fr_FR
dc.format.extent178p.fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectUsage des textesfr_FR
dc.subjectPratique pédagogiquefr_FR
dc.subjectEnseignants de Philosophiefr_FR
dc.subjectYaoundéfr_FR
dc.titleLa problématique de l’usage des textes dans la pratique pédagogique des enseignants de Philosophie du secondaire : Cas des praticiens de la ville de Yaoundé.fr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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