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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/9735
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dc.contributor.advisorTraore-Ouattara, Karidia-
dc.contributor.advisorTraore, Siaka-
dc.contributor.authorJoseph, Kouamé Kouassi James-
dc.date.accessioned2022-12-05T09:37:59Z-
dc.date.available2022-12-05T09:37:59Z-
dc.date.issued2022-05-28-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/9735-
dc.description.abstractLe système de production intensif de banane d’exportation est confronté depuis des décennies aux dégâts causés par Mycosphaerella fijiensis, car basé sur le groupe variétal Cavendish qui en est très sensible. Le seul moyen de lutte efficace actuelle demeure la lutte chimique. Cependant cette lutte est très couteuse, et peut provoquer des résistances des souches du champignon aux fongicides. Cette étude vise à apporter de nouvelles informations susceptibles de rendre la lutte contre la Maladie des Raies Noires plus efficace en Côte d’Ivoire. Les travaux ont été menés à la fois en conditions naturelles d’infestation et au laboratoire. Ainsi, des observations de l’état sanitaire des plantations et une enquête sur les programmes d’application des fongicides ont été réalisées pour vérifier la compatibilité de la gestion de la maladie avec une mise en œuvre réussie de la lutte chimique par alternance des familles de matières actives. Puis au laboratoire, la sensibilité des isolatss du champignon aux différentes familles de matières actives a été périodiquement mesurée pour chaque plantation. En complément, la maladie et la sensibilité du champignon à l’état sauvage aux fongicides ont été caractérisées sur des hybrides et des variétés de type plantain. Les résultats ont montré d’une part, qu’au champ il y a une amélioration de la gestion des plantations par les équipes phytosanitaires depuis l’instauration du monitoring. Par contre au laboratoire des résistances du champignon aux triazoles particulièrement au tébuconazole ont été observées durant les 3 années ; avec des taux d’inhibitions inferieurs à 65 % sur les échantillons des plantations industrielles. D’autre part, une bonne efficacité de l’ensemble des fongicides sur les souches sauvages du champignon a été mis en évidence. Les taux d’inhibitions des triazoles ont été supérieurs au seuil de 65 %, tandis que les taux de germination ont été inferieurs à 20 % pour le benzimidazole et inférieurs à 25 % pour les strobilurines. La dernière phase a mis en évidence différentes formes d’interactions hôte-pathogène, mais la variété SH 3640 a montré des qualités très intéressantes, la PJFA la plus élevée 3,51, la PJFN la plus élevée 7,02, les conidies les plus grandes et le nombre de conidies faible. Les conidies de cette variété ont eu les longueurs de croissance des tubes germinatifs les plus élevées mais les taux d’inhibitions des fongicides sur la croissance de ces tubes germinatifs ont été les plus élevés. On retient donc que la qualité des fongicides n’est pas la cause des résistances des conidies. Aussi la variété SH 3640 avec ses qualités pourrait être utilisée comme barrière de protection dans les plantations où les variétés sont sensibles à la MRN.fr_FR
dc.format.extent166fr_FR
dc.publisherUniversité Jean Lorougnon Guédéfr_FR
dc.subjectGestion efficientefr_FR
dc.subjectfongicidesfr_FR
dc.subjectmaladie des raies noires (MRN)fr_FR
dc.subjectbananierfr_FR
dc.subjectchapignon Mycosphaerella fijiensisfr_FR
dc.subjectbananeraies industriellesfr_FR
dc.subjectCôte d'Ivoirefr_FR
dc.titleUtilisation efficiente des fongicides dans la lutte contre la maladie des raies noires du bananier (Musa spp) due au champignon Mycosphaerella fijiensis Morelet dans les bananeraies industrielles ivoiriennes.fr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Thèses soutenues

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