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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/10455
Titre: Le liberalisme planifié et la mise en place d’une joint-venture dans la ville d’Edea : la Cellucam (1976-1986)
Auteur(s): Keky, Guy Armel
Directeur(s): Pr Abena Etoundi, Matthieu Jérémie
Mots-clés: Histoire
Industrie camerounaise
CELLUCAM
Cameroun
Date de publication: 28-jan-2022
Editeur: Université de Yaoundé I
Résumé: Dès l’accession du Cameroun à l’indépendance, le ‘’bien-être’’ et le ‘’mieux être’’ des Camerounais était l’une de ses préoccupations majeures. Ainsi, le pays opta pour le libéralisme planifié et le développement autocentré au sein desquels, il exécuta divers plans quinquennaux qui donnaient une autre configuration du paysage industriel camerounais. C’est la raison pour laquelle la thématique est axée sur ‘’Le libéralisme planifié et la mise en place d’une joint-venture dans la ville d’Edéa : La CELLUCAM (1976-1986)’’. En réalité, ce travail se propose de questionner l’impact de la politique du libéralisme planifié ainsi que l’apport de la Cellulose du Cameroun S.A aux efforts de développement socio-économique du Cameroun. En d’autres termes, la place qu’occupait cette usine dans les stratégies de développement de l’Etat, et les fondements de son échec après une courte période de fonctionnement. Pour y parvenir, un appel a été fait aux traditionnelles méthodes de la discipline historique telles que, la collecte documentaire, l’analyse par le biais des approches qualitatives, quantitatives et mixtes. Compte tenu du domaine, à savoir l’histoire économique et sociale, les données chiffrées et quantitatives ont été mobilisées ; les différentes théories explicatives ont permis enfin, de tirer un certain nombre de conclusions sur la base de faits établis. En somme, il apparaît que l’Etat avait beaucoup misé sur l’usine CELLUCAM pour le décollage de l’industrie camerounaise en vain. Puisque, les problèmes technico- organisationnels cumulés à une conjoncture internationale délétère due à la crise économique de 1986, ont réduit les efforts de l’Etat au développement à néant ; une situation qui s’avérait être l’une des conséquences de l’échec de l’usine de pâte à papier du Cameroun. Face à la consommation sans cesse croissante du papier de divers ordres, il serait nécessaire et louable de remettre sur pied, une usine de pâte à papier afin de contribuer également au développement endogène du pays.
Pagination / Nombre de pages: 233
URI/URL: https://hdl.handle.net/20.500.12177/10455
Collection(s) :Mémoires soutenus

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