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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/11314
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dc.contributor.advisorFuh Kum, Georges-
dc.contributor.authorAtabong, Betrand Lekeaka-
dc.date.accessioned2023-08-17T08:54:30Z-
dc.date.available2023-08-17T08:54:30Z-
dc.date.issued2023-07-19-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/11314-
dc.description.abstractLe thème de cette étude s’articule autour de “Les contributions du protocole de Montréal et de la convention de Ramsar à la gestion de l`environnement au Cameroun”. L`objectif majeur de ce travail vise à comprendre comment le protocole de Montréal et la convention de Ramsar ont été mis en œuvre au Cameroun. Ce travail examine aussi les contributions de ces deux lois internationales en ce qui concerne la gestion de l’environnement au Cameroun. Cependant, il est important de savoir qu’avant la ratification du protocole de Montréal en 1989, aucune action n’existait au pays en matière de protection de la couche d’ozone. C’est ainsi que des mesures précoces avaient été prises avant 2006 pour protéger les écosystèmes des zones humides au Cameroun d’après la convention de Ramsar. Les données utilisées dans cette étude ont été obtenues à partir de sources primaires et secondaires. Les données primaires ont été obtenues à partir de sources orales et archivistiques ainsi que les données secondaires ont été obtenues à partir de la littérature publiée et non publiée. Toutes ces données obtenues ont été analysées en utilisant les approches qualitatives et quantitatives, cela a aboutis aux résultats suivants: Le Cameroun a mis en œuvre le protocole de Montréal en mettant en place des institutions telles que la commission de surveillance de l’ozone, en élaborant des lois nationales sur la protection de la couche d’ozone, la sensibilisation, l’interdiction d’importer des équipements contenant des substances appauvrissant la couche d’ozone, etc. Désignation des zones humides d’importance internationale, sensibilisation et éducation, décentralisation de la lutte pour la protection des zones humides vers les communes, reboisement des mangroves etc. Cependant, certains facteurs tels que les faiblesses institutionnelles, le manque de compétence, la corruption, les faiblesses liées au mode de lois, etc., sont apparues comme des pierres d’achoppement à la mise en œuvre effective de ces lois internationales sur l’environnement au Cameroun. En conclusion l’étude souligne le fait que, pour surmonter ces problèmes, les autorités doivent assurer la mise en œuvre effective des lois nationales, lutter contre la corruption, utiliser davantage les stratégies modernes de communication pour sensibiliser, nommer des environnementalistes et non des politiciens à la tête des établissements environnementaux etc.fr_FR
dc.format.extent160fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectCouche d`ozonefr_FR
dc.subjectZones humidesfr_FR
dc.subjectProtocolefr_FR
dc.subjectConventionfr_FR
dc.subjectGestion de L`environnement.fr_FR
dc.titleThe contributions of the Montréal protocol and Ramsar convention to environmental management in Cameroon (1989 – 2021)fr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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