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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/11314
Titre: The contributions of the Montréal protocol and Ramsar convention to environmental management in Cameroon (1989 – 2021)
Auteur(s): Atabong, Betrand Lekeaka
Directeur(s): Fuh Kum, Georges
Mots-clés: Couche d`ozone
Zones humides
Protocole
Convention
Gestion de L`environnement.
Date de publication: 19-jui-2023
Editeur: Université de Yaoundé I
Résumé: Le thème de cette étude s’articule autour de “Les contributions du protocole de Montréal et de la convention de Ramsar à la gestion de l`environnement au Cameroun”. L`objectif majeur de ce travail vise à comprendre comment le protocole de Montréal et la convention de Ramsar ont été mis en œuvre au Cameroun. Ce travail examine aussi les contributions de ces deux lois internationales en ce qui concerne la gestion de l’environnement au Cameroun. Cependant, il est important de savoir qu’avant la ratification du protocole de Montréal en 1989, aucune action n’existait au pays en matière de protection de la couche d’ozone. C’est ainsi que des mesures précoces avaient été prises avant 2006 pour protéger les écosystèmes des zones humides au Cameroun d’après la convention de Ramsar. Les données utilisées dans cette étude ont été obtenues à partir de sources primaires et secondaires. Les données primaires ont été obtenues à partir de sources orales et archivistiques ainsi que les données secondaires ont été obtenues à partir de la littérature publiée et non publiée. Toutes ces données obtenues ont été analysées en utilisant les approches qualitatives et quantitatives, cela a aboutis aux résultats suivants: Le Cameroun a mis en œuvre le protocole de Montréal en mettant en place des institutions telles que la commission de surveillance de l’ozone, en élaborant des lois nationales sur la protection de la couche d’ozone, la sensibilisation, l’interdiction d’importer des équipements contenant des substances appauvrissant la couche d’ozone, etc. Désignation des zones humides d’importance internationale, sensibilisation et éducation, décentralisation de la lutte pour la protection des zones humides vers les communes, reboisement des mangroves etc. Cependant, certains facteurs tels que les faiblesses institutionnelles, le manque de compétence, la corruption, les faiblesses liées au mode de lois, etc., sont apparues comme des pierres d’achoppement à la mise en œuvre effective de ces lois internationales sur l’environnement au Cameroun. En conclusion l’étude souligne le fait que, pour surmonter ces problèmes, les autorités doivent assurer la mise en œuvre effective des lois nationales, lutter contre la corruption, utiliser davantage les stratégies modernes de communication pour sensibiliser, nommer des environnementalistes et non des politiciens à la tête des établissements environnementaux etc.
Pagination / Nombre de pages: 160
URI/URL: https://hdl.handle.net/20.500.12177/11314
Collection(s) :Mémoires soutenus

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