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dc.contributor.advisorEbale, Raymond Anselme-
dc.contributor.authorEvina Mengo, Notein Octave-
dc.date.accessioned2021-09-29T10:27:33Z-
dc.date.available2021-09-29T10:27:33Z-
dc.date.issued2016-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/5186-
dc.description.abstract“Production et commercialisation des cultures de rente au Cameroun : le cas du cacao dans l’arrondissement de Sangmélima 1960-2010.” Tel est le thème de notre étude qui aborde les fluctuations, les mutations, les changements endurés dans le milieu rural suite au cacao. Cette culture millénaire, aux origines amérindiennes, introduite au Cameroun et dans l’arrondissement de Sangmélima pendant la période coloniale allemande, reçut l’assentiment de la population jusqu’à cinquante années après l’indépendance. Dans son parcours entre 1960 et 2010, la filière cacao, pourtant pilier irrécusable de l’agriculture, connait deux conjonctures antinomiques : l’expansion et la dégénérescence. La prospérité, pendant le monopole de l’Etat, marquée par les subventions à travers les structures d’encadrement créées pour une production quantitative et qualitative d’une part, une commercialisation plus encadrée et organisée d’autre part. La déchéance, lors la crise économique, est une véritable traversée du désert, caractérisée par le désengagement de l’Etat de la filière. Ce poncepilatisme qu’accompagne la libéralisation à outrance, plonge le planteur dans un désarroi qui le contraint à l’abandon des plantations cacaoyères. La production tombe en baisse et les mauvaises pratiques commerciales se font ressentir. Les planteurs s’adaptent à la libéralisation ; l’Etat amorce une reprise en main de la cacaoculture par des actes d’encouragement et de réhabilitation des structures victimes de la léthargie du temps de vaches maigres. Toutefois, il ne semble pas superflu de constater que la cacaoculture a eu, bon gré mal gré les péripéties, un impact économique social et culturel sur l’arrondissement de Sangmélima. Perfectionnement des habitations, des planteurs, développement des villages avec renforcement du secteur commercial ; par ailleurs le cacao a entraîné l’adoption de conduites peu orthodoxes.fr_FR
dc.format.extent159fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectProduction et commercialisationfr_FR
dc.subjectCultures de rentefr_FR
dc.subjectCamerounfr_FR
dc.subjectCacaofr_FR
dc.subjectSangmélima 1960-2010fr_FR
dc.titleProduction et commercialisation des cultures de rente au Cameroun: le cas du cacao dans l’arrondissement de Sangmélima 1960-2010.fr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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