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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/7914
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dc.contributor.advisorKoffi, Béné Jean-Claude-
dc.contributor.authorKely, Malé Roger-
dc.date.accessioned2022-03-23T09:13:04Z-
dc.date.available2022-03-23T09:13:04Z-
dc.date.issued2020-08-22-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/7914-
dc.description.abstractLa Côte d’Ivoire, pays situé en Afrique de l’Ouest, n’est pas en marge de l’effondrement généralisé de la biodiversité. Les Aires Protégés qui constituent les derniers refuges de la faune, sont également sous fortes pressions humaines. Le Parc National de Taî (PNT), reconnu comme l’un des parcs les mieux conservés du pays, renferme plusieurs espèces emblématiques, dont l’éléphant de forêt (Loxodonta Africana cyclotis ). Bien que les éléphants du PNT aient fait l’objet de certaines études, il subsiste un déficit d’information les consernant. Dans cette étude, nous nous sommes proposés de déterminer les caractéristiques de la populations des éléphants au PNT, par piègeage photographique, en vue de leur conservation durable au sein du parc. Pour atteindre leur objectif, nous avons installé 87 pièges photographiques au sein du PNT, pendant 120 jours. Le modèle d’occupation de site a permis de determiner deux grandes zones de fortes activités des éléphants: une première zone, située à l’est de la zone de recherche en écologie et une deuxième zone dans la partie sud-ouest du parc. En outre,les prédicteurs de la distribution des éléphants dans la zone nord sont différents de ceux de la zone sud. Dans la zone nord du parc,le rapprochement à la périphérie et l’augmentation du taux d’indices de braconnage entrainent une baisse de la probabilité de presence des éléphants. Cependant, dans la partie sud, le rapprochement au cours d’eau et l’augmentation de l’altitude influencent positivement la présence des éléphants. Le rapprochement aux zones de recherche ou d’écotourisme a un impact positif sur la présence des éléphants dans les deux zones. Le modèle d’hétérogénéité de Roye/Nichols a permis d’estimer la taille de la population d’éléphants du PNT à 77 individus. Pour la structure sociale, la taille moyenne des groupes a été estimé à 2,7=0,75 individus (avec les individus solitaires) et à 4,5=1,04 individus (sans les individus solitaires). Cette population est constituée de 39% de jeunes et de 19% d’individus solitaires. L’analyse de la période d’activité des éléphants rélève que les groupes ont une activité préférentiellement nocturne, contrairement aux individus solitaires qui on tune activité essentiellement diurne. Cette étude se veut importante dans la mesure où elle permet d’orienter les gestionnaires pour toute décision concernant les éléphants du PNT.fr_FR
dc.format.extent97fr_FR
dc.publisherUniversité Jean Lorougnon Guédéfr_FR
dc.subjectParc National de TaÏfr_FR
dc.subjectPiège photographiquefr_FR
dc.subjectEléphants de forêtfr_FR
dc.subjectAbondancefr_FR
dc.subjectEcologiefr_FR
dc.titleDistribution, abondance, structure sociale et activité de l'éléphant de forêt (Loxodonta africana cyclotis Matschie, 1900) au Parc National de Taï (Sud-Ouest de la Côte d'Ivoire).fr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Thèses soutenues

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